J'ai ramassé une fille dans le parc et je l'ai rapidement baisée dans les buissons
(Deuxième partie, j'espère qu'elle vous plaira.)
Ce qu'elle avait laissé arriver, ses fluides mélangés aux siens coulaient entre ses jambes et sur le bois dur cassé. Elle était en colère contre elle-même de s'être permise de profiter de l'humiliation qu'il lui avait fait subir, il s'était retiré de son corps et s'était éloigné en respirant fort alors qu'il faisait claquer le bouton de son jean et la regardait. Même s'il semblait choqué d'avoir fait cela, il avait voulu faire valoir son point de vue en la violant, mais elle aurait juré qu'il avait apprécié ça aussi. Elle essayait de se lever, se sentant un peu endolori entre ses jambes et l'intérieur de ses cuisses, tremblant un peu de douleur, elle se levait et tentait de fermer sa chemise qu'il avait déchirée. Seuls quelques boutons avaient survécu et elle les boutonnerait, son pantalon était jeté dans un coin et était au moins récupérable, Tu devrais y aller. dit-il d'une voix rauque d'émotion et de regret. Elle le regardait pendant un moment et disait : Je ne peux pas... pas sans t'accueillir. son regard inquiet se transformait en un regard de colère, Comme tu pourrais. lui grogna-t-il. En la regardant de la tête aux pieds, il ajoutait : « C'est évident que tu n'as pas la force de m'accueillir. elle rougirait à l'évocation de son viol.
Je n'ai peut-être pas la force de t'accueillir mais si je dois te tuer, je le ferai, Léon. cela lui valut un autre grognement, Alors c'est à ça que ça en est arrivé ?
Commentaires (0)
Vidéo similaire: