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Je baise le plombier et il jouit en un rien de temps

La vérité sur Charlie Prologue Quand j'étais petite, je prenais les mains de ma mère et je tournais en rond jusqu'à ce que nous soyons tous les deux étourdis et tombions de rire. Elle enroulait ensuite ses bras autour de moi étroitement, mettait son beau petit visage dans mes cheveux et m'embrassait. Nous nous levions tous les deux et elle venait me chercher et me portait pour me préparer au retour de papa à la maison. Il arrivait, l'embrassait puis m'embrassait. Tout ce dont je me souviens de ma mère, c'est que je lui ressemble presque quand elle avait mon âge. C'était une petite femme avec un bronzage clair toute l'année, elle avait un petit visage mais de grands yeux verts et de longs cheveux bruns qui avaient une teinte rouge en été. Ça et elle sentait toujours le jasmin et le pin. Maman est décédée l'année de mes cinq ans, elle quittait mon père pour se rendre chez mes grands-parents, elle a heurté de la glace noire et nous avons eu un accident de voiture, elle est morte, je me suis cassé le bras. Mon père et moi avions une relation difficile et elle allait bientôt empirer avec le temps. Il a commencé à boire et, à l'âge de huit ans, je m'étais encore cassé le bras trois fois et, en tout, cent soixante-trois points de suture. Mes professeurs me demandaient ce qui s'était passé et je disais que je suis tombé. Personne n'a jamais pensé à demander à mon père parfait. Principalement parce qu'il était shérif et quel officier de justice ferait du mal à qui que ce soit, en particulier à son enfant. L'année où j'ai eu onze ans, les choses ont empiré, papa entrait dans ma chambre la nuit et s'allongeait dans mon lit avec moi en me frottant et en m'embrassant au début, puis il glissait sa main le long de ma jambe et murmurait ? Mon Charlie, mon doux ange papa, t'aime tellement ? Je restais simplement allongé là en espérant qu'il s'en aille. Au fur et à mesure que le temps passait, les choses devenaient de plus en plus chaudes, il commençait par murmurer mon nom puis il faisait glisser sa main vers le bas et jouait avec mon clitoris un soir, il enlevait ma petite culotte et glissait en embrassant mon ventre puis ma cuisse puis lentement il aimerait mon chatte sans poils, puis glisse sa pince et effleure mon clitoris au bout d'un moment, mon corps me trahirait et j'aurais un orgasme. Pendant près de deux ans, cela s’est produit la nuit. Quand j’ai eu treize ans, j’avais atteint la puberté. Je ressemblais davantage à maman tous les jours. J'avais ses grands yeux verts et j'avais des cheveux jusqu'au milieu de mon dos avec de grosses boucles ondulées. Mes cheveux étaient blonds comme papa mais avec une tente rouge comme maman. Mes seins étaient plus gros que les siens, un bonnet 34c. J'étais plus encadré comme papa que comme maman, j'avais cinq ans et je pesais 105 et je grandissais toujours. Le jour du vingtième anniversaire de mes parents, ma vie est passée d'un cauchemar vivant à un enfer vivant.
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